Bintou TOURE

Vivre en harmonie avec son entourage? Deux règles essentielles

Savoir vivre en société

La solitude n’est le souhait de personne. Même si souvent nous voulons être seul et garder notre intimité, vivre entouré de personnes aimantes et bienveillante est le désir de tout un chacun. Aussi l’entourage est la base d’un épanouissement personnel et social. Donc en retour, nous nous devons d’être gentil, disponible et serviable comme si nous étions une bénédiction pour elles. En apportant à notre entourage bonheur, joie et épanouissement. Et, même si cela doit passer par le fait que nous nous détournions de notre intérêt pour faire passer celui des autres.Notre façon de faire et de dire n’entre pas toujours dans le contexte social perçu par les autres. Les critiques, les jugements, les opinions etc, peuvent être vu comme une atteinte à leur nature et leur équilibre personnel. Il est tout à fait juste de croire que l’être humain est d’une nature forte et que le temps guérit tout.

 Solitude, intimité, vivre entouré, société, harmonie.
Causerie sous arbre. Solitude, intimité, vivre entouré, société, harmonie,

Trois règles pour maintenir une bonne ambiance dans son entourage

Solitude, intimité, vivre entouré, société, harmonie. Oui! Mais, cela n’empêche de donner ce que les autres attendent de nous a savoir :
■ Respect de l’autre tout en exprimant clairement des choses difficiles et contraignantes à entendre
■ Accepter les différences
■ Dire franchement ce qu’on pense, ce qu’on veut ou pire encore ce qu’on ressent; être capable d’avouer ce qu’on veut
Pour cela il est indispensable de ne pas perdre de vu deux règles d’or.

S’appuyer sur les forces de chacun
Il est inutile de passer beaucoup de temps à regarder nos faiblesses et celles des autres. C’est comme percevoir le verre à moitié vide. Alors que l’être humain autant que nous sommes, sommes fait de faiblesses et de forces ! Nous devons alors nous accepter tels que nous sommes et surtout chercher ce qu’il y a de meilleur en chacun. En effet, apporter des critiques constructives et excuser la maladresse des autres en présentant uniquement le bon côté des choses. Les autres doivent faire de même pour nous afin d’évoluer dans un entourage uni et fort .

Aider les autres à s’épanouir
Souvent, Nous pensons à notre propre bonheur avant celle des autres et nous aimons que les autres nous rendent heureux. Mais l’amour, tel qu’on nous l’a appris se partage. Notre bonheur doit être tourné vers l’autre, rempli de compassion et de compréhension. Nous pouvons tous aider nos proches à s’épanouir: en les encourageant, en les accompagnant dans la difficulté, et en insistant sur leurs qualités.

Peu importe le nombre, ce qui importe c’est de porter un regard bienveillant sur les autres et de rechercher leur épanouissement.


Le pagne traditionnel dogon un tissu parfaitement moderne et chic !

Bonjour mes fashionistas aujourd’hui je vous embarque dans l’univers Dogon et vous faire découvrir le pagne Dogon tissé manuellement.

Le tissu à base de coton qui depuis plusieurs années attire la curiosité de plusieurs pays africains et européens. Et de nombreux stylistes également qui l’utilisent comme pièce maîtresse de leur collection.

Le pagne Dogon, une histoire de culture

L’une des plus belles diversités culturelles du Mali repose essentiellement sur les accoutrements de chaque ethnie souvent répartie sur toute l’étendue du territoire.
Du nord au sud chaque région à sa propre culture et ses traditions . Et, Celle des Dogons ne fait pas exception. Cette culture ne laisse personne indifférent et attire l’attention de tous. Particulièrement des touristes à cause de son magnifique paysage, des sculptures et des tissus comme le bogolan. Toute mon enfance, j’ai été bercé par les dogons et leur mode de vie car j’y passais chaque année toutes mes vacances scolaire. Ce lien, avec cette culture je l’ai développé du côté maternel.  Car ma maman est originaire de Bandiagara l’un des plus beaux sites Dogon réputé par ses magnifiques falaises. Elle a partagé avec nous sa culture et nous a fait découvrir un nouveau visage et les richesses de cette communauté . Au-delà de tout, une activité a vraiment attiré mon attention : la conception du tissu teinté Dogon.
Le tissage dans le contexte de la fabrication des textiles en pays dogon

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Pagne tissé dogon

Un tissu fabriqué uniquement à la main!

La conception de ce tissu se fait entièrement à la main et en différentes étapes. Le procédé de fabrication est bien défini et réparti entre les femmes et les hommes. Avec les revenus tirés de la culture des champs, les femmes achètent le coton ainsi que d’autres matériaux bruts, qui sont ensuite filés manuellement. Elles donnent ensuite les fils aux tisserands. Les hommes tissent les laizes en fonction des commandes des femmes et sont rémunérés par ces dernières. Les femmes décident si elles donnent ensuite les laizes à coudre ou à teindre .

Cette teinte, souvent de couleur indigo avec différents motifs à rayures ou en chaîne. Ces laizes sont uniquement utilisées pour la production de pagnes féminins .Chaque motif a une signification ou un message particulier.
Au-delà de l’éclat et de la beauté que ce pagne reflète, il est à souligner que c’est un tissu sensible qui nécessite beaucoup d’entretien car il ne se lave pas de si tôt et voire même des années après sa conception à cause de la teinte et de sa texture très délicate.

Dans mon placard..
Ce pagne dans mon placard est une magie car je le porte en guise de veste pour accentuer et faire ressortir le côté traditionnel de ma tenue. Et à chaque fois il fait le même effet car c’est un tissu qui sort de l’ordinaire, tape à l’œil et attire la curiosité de tous. Un seul mot je l’adore tout simplement car malgré son côté traditionnel il peut être parfaitement moderne et chic 🙂

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    Pagne Dogon en veste
 

 


Beauté : se maquiller : moyen d’expression, tromperie ou geste de séduction ?

Le maquillage, un art, une séduction, une beauté, une feminité, une mode

Le maquillage est avant tout un art qui peut également être pratiqué par des amateurs pour leur plaisir personnel. Alors, les minutes qui s’écroulent devant un miroir, le matin, pour nous les femmes sont les plus cruciales et décisives. Car se faire une beauté ou se maquiller relève d’un geste qui parait banal, mais en fait pas du tout.  Du trait d’eye-liner au  fond de teint, des phares à paupières et du gloss tout doit être parfait pour être rayonnante et au top pour commencer sa journée. Au-delà,  soigner son apparence est devenu une priorité. Et cela, même si on a tendance à dire qu’elle compte peu. L’apparence pèse quand même sur toutes les femmes et cela qu’elles soient cultivées ou de différentes classes sociales. Le but est d’être joli, présentable et agréable à regarder.

Dans les domaines audiovisuels et de la mode, le maquillage est réalisé par des professionnels. Ce n’est pas un hasard si le maquillage attise à la fois le désir et la méfiance. S’il est fait avec discrétion il attire les regards et s’il est de trop il attirera toujours des regards. 🙂

Les hommes surtout considèrent le maquillage comme une véritable arnaque. Car, mettre désormais son visage en valeur sans sortir de soi est devenu presque impossible. En effet, l’utilisation qui est faite du maquillage en laisse presque perplexe.

Et si on ‘‘se refaisait une petite beauté ? ’’

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L’expression « se refaire une beauté » lorsque; une femme va se maquiller ou se remaquiller, ne dit certainement pas autre chose. Il s’agit avant tout de remettre de l’harmonie et de l’ordre à la composition du visage. En ce qui me concerne j’avais l’habitude de dire  « Je me maquille à peine » ou je me maquille « Uniquement pour sortir » etc. Mais, derrière se cachait une volonté de banaliser le geste qui au fur et à mesure du temps est devenue un  rituel. Un rituel qui s’impose dès le matin et qui demande un peu d’effort.  La logique est que du moment où je dois sortir de chez moi et rencontrer des gens un petit ou soupçon de maquillage doit se faire voir. Soit du mascara ou du rouge à lèvre tout est bon pour donner de l’éclat au visage.

Quand on demande la plupart des femmes pourquoi elles se maquillent le plus souvent elles répondent : « Je me maquille par habitude » ou mieux « C’est juste pour avoir bonne mine ». L’intention est simple mais à la fin, toutes exigent un maquillage parfait et discret sans trop en faire. Il y a dans cette démarche le désir de rétablir de manière visible une identité qui nous échappe. C’est ce qui me fait dire souvent qu’en se maquillant, on ne se fuit pas, on se cherche.

Se faire trop belle ce n’est pas accepter qui l’on est !

D’après Dominique de Vorges  l’ordre idéal pour appliquer son maquillage est le suivant.

* La base hydratante — Le fond de teint — Le correcteur et/ou anti-cernes –La poudre libre et/ou compact — Le crayon à sourcils —  Le(s) fard(s) à paupière — Le liner et/ou crayon —  Le mascara — Le fard à joue/blush — Le crayon à lèvres — Le rouge à lèvre et enfin  le gloss.

Bien sûr il n’est pas nécessaire d’utiliser tous ces produits au quotidien aux risques d’abimer la peau. Pour tout vous dire, tout se joue dans le voilé-dévoilé, mais chaque partie compte dans la composition finale. Il suffit de trouver le juste milieu pour toujours garder le coté soft du Make-up.

Si certaines femmes préfèrent le maquillage discret d’autres sont carrément à l’ opposé. Le rituel de la mise en beauté devient alors comme une manière de se cacher. Chercher à camoufler toutes les imperfections du visage. Le maquillage est donc utilisé en excès, comme un masque, pour déguiser leur intimité.   » Se farder » le visage est synonyme besoin absolu de plaire même si elles ne sont pas totalement responsable de ce phénomène. Puisque la société pousse au perfectionnisme et, les femmes ont assez souvent un manque de confiance en leur beauté naturelle et leur valeur intérieure pour abandonner ce camouflage qui, le plus souvent se dressent contre elles. Car, quand elles rencontrent une personne , la plupart du temps cette dernière est attiré par la femme superficielle qui une fois démaquiller n’est plus du tout ce qu’elle était.

En conclusion

Bref, mesdames aillez confiance en votre beauté naturelle car, tout le monde est beau et tout le monde trouve chaussure a son pieds. n’avez vous pas constater que le fait de s’accepter soi-même réajuste le regard des autres envers nous? en tout cas moi je l’ai remarqué.

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Alors et vous les filles quelles sont vos goûts en matière de maquillage et quelle partie de votre visage valorisez-vous le plus ??

 


Quand J’ai Décidé d’Arrêter Le Défrisage

J’en parle encore comme si j’avais subi une ‘’petite’’ délivrance. D’ailleurs, je pense que c’en est une, car j’ai pu sauver mes cheveux d’un terrible massacre capillaire. cette expérience de défrisage m’a ouvert les yeux et pas qu’un peu.

Il était une fois, mes jolis cheveux….

Je me souviens. quand j’étais petite, toute les coiffeuses me faisaient des compliment pour avoir de beaux cheveux. J’en étais très fière. Car, selon elles, ils étaient mous, longs et complets. Mes cheveux étaient de nature métissée. Sans même les coiffer, je pouvais juste en faire une queue de cheval ou les négliger sur ma tête, pour faire décontracté. Mais c’était sans compter sur le défrisage, qui allait me hanter pendant mes années de lycée.

Ce fut alors le début de 7 ans de calvaire pour mes cheveux. On me faisait comprendre que, pour avoir un beau tissage, et pour avoir des raies dans les cheveux, il fallait se défriser. Les cheveux devaient se transformer en mèches. Je pouvais donc faire des torsades et des coiffures avec du gel ou encore des chignons. Ce qui est pratiquement impossible avec les cheveux crépus. Mais le véritable piège, quand on commence à se défriser, c’est qu’on doit le refaire à une fréquence donnée. Tous les deux ou trois mois, il fallait reprendre le défrisage pour garder l’aspect lisse des cheveux. Ceci fragilise les cheveux et le cuir chevelu, sans compter les multiples cassures des cheveux à la limite du front et des pointes.

Cheveux Afro

La fin de mon calvaire capillaire

Il y a trois ans, alors que j’étais fatiguée et frustrée par les cassures de mes cheveux, qui n’étaient pratiquement plus les mêmes qu’avant. Je me suis réveillé un beau matin avec la résolution de ne plus me défriser. Je me suis rendu chez ma coiffeuse pour un tissage. Quand elle m’a proposé de défriser mes cheveux, j’ai catégoriquement refusé. En lui faisant comprendre que je ne comptais plus le faire. Elle ne m’a pas cru et a insisté. Sans succès. Les fois suivantes, elle me disait que mes cheveux étaient devenus crépus et difficiles à coiffer et me proposait toujours de me défriser. Je lui ai alors fait comprendre que c’était elle l’experte en coiffure donc que c’était à elle de de se débrouiller. Elle a enfin compris pour de bon que j’avais dépassé ce cap.  Aujourd’hui elle me félicite pour la beauté de mes cheveux.

cheveux attachés affro
Cheveux attachés

Le seul côté positif du défrisage est qu’il diminue le volume des cheveux et les rend plus maniables. A part cela, c’est une catastrophe.

Pour retrouver mes cheveux crépus, je n’ai eu besoin ni de les couper ni de faire des masques ou des soins toutes les semaines. Du beurre de karité et de l’huile de coco ont suffi pour redonner de la force et la vitalité à mes cheveux. J’ai alors réduit le rythme de tissage. Pour éviter de les agresser constamment avec des mèches. Cependant, les perruques et les nattes sont devenues mes meilleures amies. Je me sens beaucoup mieux ainsi : en harmonie avec mes cheveux naturels.

Alors, si vous voulez en finir avec le défrisage et retrouver vos beaux cheveux crépus, il suffit d’une bonne dose de volonté et surtout de patience les filles. 😉


Chronique: L’histoire D’une Feuille Morte

Tout part d’une banalité….

Intriguée, je me suis levée pour regarder par la fenêtre. J’aperçus alors, cette grosse feuille qui il y’a deux minutes n’était pas encore là. Elle était seule, dessécher, abandonner et poser sur la table au milieu du jardin. Comme si, elle avait été déposé exprès et qu’elle attendait la personne à laquelle elle était destinée.

Sa couleur était devenue pale, sans éclat. Elle commençait à se replier sur elle-même de l’intérieur laissant croire qu’elle se protégeait du soleil. Différente des autres feuilles elle a particulièrement attiré mon attention. Pourtant, le vent soufflait fort et emportait toutes les autres feuilles qui se trouvaient au sol. Elle restait immobile soit faisait semblant de bouger soit ne bougeait pas du tout.

Intrigue

J’ai longtemps observé cette feuille à travers la fenêtre en me posant une multitude de question. Car, elle avait l’air d’une plante mais sans racine. Elle faisait peur de loin. Et comme une petite lumière qui m’est apparu, j’ai décidé de suivre ma curiosité et mon intuition. C’est seulement en ce moment que je me suis décidé à sortir du bâtiment. Je me suis dirigée vers cette table pour regarder de près cette mystérieuse feuille. J’avais le cœur qui bâtaient, les mains qui tremblaient et le sentiment d’être ridicule. C’est vrai  parce qu’après tout ce n’est qu’une feuille. Mais que faisait-elle-la ? Et qui l’a déposé la ? Si quelqu’un l’a déposé la pour attirer mon attention, m’inciter à sortir de la maison et me faire du mal après ? Est ce une feuille fétiche ? Si je la touche ne vais-je pas me transformé en crapaud ou tomber dans un coma profond ? C’est tout une série de question qui me traverse l’esprit en cet instant précis. Après tout on est en Afrique encore moins que je n’étais pas dans mon pays d’origine et que j’étais de passage dans cette maison d’hôte.

Je me suis imaginé toutes les scenarios possibles et digne d’un film d’horreur d’Hollywood. C’est vrai que même si, en Afrique, il y’a certaines choses qui intriguent et font peur, la plupart du temps elles sont banales simples et loin de toute imagination.

Un soupçon de courage

Enfin, j’ai décidé de m’avancer lentement tout en fixant la feuille. Mais je priais tous les dieux du ciel pour que ça ne soit rien de toute la mise en scène que je me suis créer et introduit dans l’esprit toute seule jusque-là. Après un moment d’hésitation je décide de m’approcher pour de bon quand je me suis souvenu de cette phrase légendaire ‘’ Tout ce qui devra arriver arrivera’’. Une phrase que ma maman adorait nous rappeler quand on se plaignait mes frères et moi, pour qu’on garde fois dans n’importe quelle situation et surtout ne pas paniquer et rester serein. C’est là que j’ai réunit toute les forces de mon corps et pris mon courage à deux main et enfin m’approcher de cette feuille.

Aussitôt près d’elle je n’ai pas pu m’empêcher de la touché. Oui, d’un coup ma peur a disparu laissant place au charme peu flatteur de cette feuille qui était si bien dessiné mais avait pris une texture molle comme une carotte qui se déshydrate. Dès l’instant où je l’ai touché j’ai souri comme si je venais de retrouver un objet cher que j’avais égaré. Un léger vent de satisfaction s’est mis à souffler  comme pour me rassuré. J’ai commencé à observer la feuille sur tous les angles possible. J’avoue je n’avais encore jamais vu une feuille aussi grosse, pulpeuse, large et avec une longue tige. Je me suis assise, la feuille dans les mains la regardant avec amour, tendresse les yeux pleins d’étoiles comme un enfant qui vient de découvrir un nouveau jouet.

La fin

Après cette longue période d’observation, j’ai commencé à tourner dans tous les coins du jardin comme si je cherchais la personne qui l’avait emmené jusqu’ici. Et c’était le cas je voulais vraiment savoir c’est quoi cette feuille et d’où venait elle et de quel arbre. Elle ne ressemble à aucune autre feuille des arbres de la cour. Après plusieurs minutes à la quête de réponses à mes questions sans succès j’ai eu l’idée de photographier la feuille pour immortaliser ce moment qui était une grande découverte pour moi. Car quelle que soit la façon dont elle a atterrie ici, dans ce jardin rien n’arrive au hasard. J’étais un peu  triste car je savais que c’était la fin pour elle.  Je l’ai trouvé mais je savais qu’elle allait soit finir écrasé ou emporter par le vent dans le fleuve a quelque mètre de là. Toute façon cette feuille a vécu son temps. Elle avait besoin d’une petite lumière, une petite attention et un peu d’amour avant de s’achever et disparaitre à jamais.  Elle m’aura quand même ouvert les yeux car c’est seulement ce jour que j’ai su qu’une feuille peut prendre une dimension pareille.

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Bintou photo prise a abidjan. Novembre 2016
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avec une feuille dans le jardin
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Photo avec une feuille